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  • Photo du rédacteuremily daubry

J2 Le pouvoir de l'eau

Dernière mise à jour : 23 nov. 2019

La puissance de l’eau

Beauté de l’eau,

De l’eau qui vit,

Qui fait vivre,

Qui dégringole pour nous abreuver,

Créant un arc-en-ciel.



Encore plus loin

Là encore le spectacle est sur la route, et le soleil vient le sublimer. Déception de ne pouvoir s’arrêter. Le souvenir restera uniquement dans la mémoire. Instants magiques.


Occasion ratée

Arrêt près d’une plage…

Enfin pas si près. Le chemin est long, ardu, mais au bout se trouve une célèbre carcasse. Celle d’un avion de guerre, écrasé. Pourtant malgré la promesse, il me faudra renoncer, et rebrousser chemin avant le but ultime, car il y a un autre rendez-vous que je ne raterais pour rien au monde. Celui des poneys islandais.


Galop dans les cendres

L’écurie ne paie pas de mine. Juste des box et des paddocks, mais elle a l’avantage de se trouver proche de la plage. Aucune route à traverser, accès direct. Nous sommes un groupe de dix, dans lequel je suis la seule à monter régulièrement. On nous attribue les montures. Les poneys islandais sont la seule espèce de l’île, car eux seuls peuvent supporter les conditions climatiques de l’Islande. C’est une race rustique, à grosse tête et grosse crinière. De vrais nounours. Mon poney au nom imprononçable est vif et volontaire. Le groupe à cheval nous partons avec trois accompagnatrices. D’office, elles me mettent en tête de file, juste derrière notre guide. Les premiers temps se font au pas. Rapidement une partie du groupe est quelque peu semée. Les poneys sont gourmands et profitent de l’inexpérience de leur cavalier. Puis elles nous proposent un peu de tölt, allure typique de ces poneys. Le groupe se divise en deux. Ceux qui veulent et les autres. C’est parti! !alors que dire? C’est particulier. On m’avait dit que c’était très confortable, j’ai trouvé que cela secouait. Peut être parce que mon poney allait davantage au trot? Pas très régulier dans son allure. Après cette petite allure, nous remontons la plage de sable noir tous ensemble, au pas, puis traversons une rivière.

Puis grâce divine, elles me proposent de galoper. Avec l’une des trois accompagnatrices nous nous séparons. Nous repartons toutes les deux sur la plage, dans un galop endiablé. Rapide, mais ultra-confortable. Poney ultra régulier, et matériel typiquement islandais très confortable. Ce moment d’euphorie est juste sublime. Tout comme le lieu, sur lequel je retournerai vagabonder, à pieds cette fois-ci.



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