top of page
  • Photo du rédacteuremily daubry

17 Juillet 2016

17 juillet

Après ces quelques jours à Osaka, nous partons en direction de Kyoto, capitale du Japon de 794 à 1868, pour finalement céder ce rôle à Tokyo. A notre arrivée, nous devons faire un long détour (pour cause de festival de Gion). Nous arrivons finalement à notre hôtel afin de déposer nos bagages. Pour l’occasion, nous avons choisi un petit ryokan (auberge traditionnelle). Les chambres n’ont pas de lits mais des futons, ainsi qu’un petit onsen (bain d’eau chaude naturelle, idéal pour la détente).


Débarrassés de nos bagages, nous allons dans les rues profiter du Matsuri Gion (festival qui a lieu durant quatre jours, en juillet). Forcément beaucoup de monde pour admirer le défilé de chars tirés à la main, mais l’ordre règne au Japon, et aucun débordement n’est à déplorer. Bien que présents, les policiers n’ont pas à intervenir (sauf auprès de touristes afin de les renseigner sur le chemin à suivre).

Arrêt dans un premier temple bouddhiste. Arrêt imprévu, juste parce qu’il se trouvait sur notre chemin, et qu’il était désert, loin de la foule. Je ne sais donc pas grand chose sur celui-ci, juste que ce moment était agréable.


Après cela nous nous baladons dans le quartier Gion (ancien quartier), connu pour ces geishas. La rue est historique, et difficile à appréhender pour des non-inités. En effet de nombreux restaurants sont cachés, avec peu de tables, et des menus écrits uniquement en japonais.



Après cela nous nous rendons au Yasaka-jinja situé à l’intérieur du par Maruyama. Foule parcourt ce parc, et le festival augmente l’affluence. Il faut donc se frayer un chemin. Heureusement le parc est immense et une fois son entrée et le temple passé, l’affluence se tarie. C’est d’ailleurs dans ce parc, à l’écart de la foule que nous déjeunons, des jolies brochettes.

Le soir, alors qu’il fait toujours aussi chaud, les rues sont animées, sans être oppressante. On sent la discipline japonaise. Nous dinons dans un restaurant traditionnel. Pour cela il nous faut enlever les chaussures à l’entrée, puis nous asseoir à genoux. Les tables sont basses, il n’y a pas de chaises, les serveuses sont en yukata. Ce soir ce sera crabe pour tout le monde. Une jolie expérience, telle que l’on peut l’imaginer au Japon. La tradition marquera notre séjour à Kyoto.


0 vue0 commentaire

Posts récents

Voir tout
bottom of page