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  • Photo du rédacteuremily daubry

14 et 15 Juillet 2016

14 juillet/15 juillet

Japon, pays au combien fascinant par sa culture. Durant mon adolescence, j’ai baigné dans les animés, mangas et autres joyeusetés asiatiques, et particulièrement japonaise. Il était donc logique que je m’intéresse également à la culture du pays, et que j’ai envie d’y aller. Ce rêve s’est réalisé pour mes dix-huit ans. Ce fut même mon cadeau (et quel beau cadeau), bien qu’avec l’organisation du voyage j’ai plus de dix-huit ans au moment de m’y envoler. Un voyage qui devait se faire entre amies, mais où mes parents prirent part également (suite à certaines réticences). Nous partîmes, non pas en voyage organisé, mais selon ce que nous avions préparé. Réservation de l’avion six à sept mois à l’avance, hôtels également et liste non exhaustive de visites.

Départ de Paris, en direction du Japon. Vol avec une escale à Vienne. Le premier avion est « petit », avec seulement deux rangées. Après un vol légèrement remuant (bien moins tout de même que d’autres que je vivrais par la suite), c’est avec un léger mal au cœur que nous atterrissons à Vienne. Où notre prochain avion est annoncé avec trois heures de retard. Ah les joies du voyage. Au moins cela m’aura permis de récupérer mes forces et d’effacer les nausées. Le second avion est un gros avion, où les mouvements se font bien plus discrets. Nous sommes dans la rangée centrale. Et c’est parti pour de longues heures d’avion (treize heures au total). Il faut essayer de dormir un maximum, et de s’occuper comme l’on peut. Dommage que ce soit si peu confortable et si étroit. Finalement nous atterrissons. Avec sept heures de décalage, Le soir commence à tomber.

De l’aéroport de Narita, directement nous prenons le Shinkansen, direction Osaka. L’équivalent du TGV français est fort différent. L’espace y est grand (suffisamment pour allonger ses jambes), les sièges tous dans le sens de la marche, et c’est propre. Sans places réservées, il faut donc en trouver (ce qui n’est pas évident à ces heures). Heureusement chacun d’entre nous dispose d’un siège. Et c’est parti pour 3h30 de train.

Après tant de transports, il nous faut encore rejoindre notre hôtel. Pas de soucis, nous avons une carte. Enfin ça c’est la théorie. En réalité les distances sont bien plus longues que prévues. Et pas moyen de s’aider de Google Maps (n’ayant pas les outils pour qu’Internet fonctionne sur nos portables). Nous demandons notre chemin, mais les Japonais ne sont pas très doués pour s’orienter et lire une carte. Finalement après plus d’une heure de marche, nous atteignons notre but avec bonheur et trempés de sueur (et oui il fait vraiment chaud au Japon en été).

Après avoir déposés nos affaires, nous recherchons un restaurant pour notre premier repas asiatique. Chacun commande son plat tels de bons français. On nous les apporte au milieu de la table, avec une assiette vide pour chacun d’entre nous. Et oui, au Japon lorsque l’on commande c’est pour tout le monde. Les plats sont communs et chacun se sert à sa guise. Soit, au moins comme cela nous pouvons goûter de tout.

Après cela retour à l’hôtel pour la première nuit (ou plutôt son absence). En effet entre le décalage horaire, les voyage et la chaleur (avec des difficultés pour s’accorder sur la température de la clim), la nuit s’écoule sans que l’on se repose réellement.

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